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Micro-trottoir: Erasmus+, 30 ans : la mobilité est un métier

Plus de 100 participants, 40 établissements d’enseignement supérieur, une dizaine d’organismes partenaires : de quoi alimenter les échanges du séminaire à destination de l’enseignement supérieur qui a eu lieu les 4 et 5 mai passé pour célébrer les 30 ans du programme Erasmus. Qu’en ont retenu les participants ?

Gérer la mobilité : des réalités, un métier et la nécessité d’un espace de partage

Premier constat : le besoin d’échanger, entre gestionnaires de la mobilité ou des relations internationales, sur les réalités et pratiques de chacun.

Pourquoi?

  • Pour se sentir moins seul face à des questions qui se posent à tous.
  • Pour partager les pratiques et modes de gestion d’une fonction multifacette et lancer des nouvelles pistes de réflexion.
  • Pour renforcer la collaboration entre universités, hautes écoles et écoles supérieures des arts, sur les questions internationales.
  • Pour mieux connaître la diversité du paysage de l’enseignement supérieur en FWB, et mieux en parler lors de missions à l’étranger. 

Un regret ? Avoir plus de temps pour approfondir les échanges.

Une piste ? Utiliser l’espace offert par l’ARES pour continuer les réflexions initiées lors du séminaire.

Un plus ? Pouvoir partager sa réalité de terrain avec d’autres établissements d’enseignement supérieur, mais également avec les représentants de l’agence nationale, de la Commission européenne et du Ministre Marcourt.  

Le changement, c’est maintenant !  

Echanger, et après ? Autre bilan positif du séminaire, revenir dans son établissement avec des idées concrètes à mettre en œuvre :  

  • Des outils : nouvelles pistes de sources de financement pour les jeunes diplômés, outils pour informer sur la mobilité du personnel, possibilité de mettre sur pied un projet de partenariat stratégique, …  
  •  De nouveaux partenariats à l’étranger : les responsables de la mobilité des catégories paramédicales de différents établissements ont décidé de mettre en commun leur offre de formation et de partenaires étrangers.  
  •  Un retour vers les directions, sur base des nouvelles idées récoltées, pour donner une nouvelle impulsion à la mobilité.  

Digitaliser, oui, mais uniquement pour plus de simplification  

Différentes initiatives sur la digitalisation des outils de gestion de la mobilité ont été présentées. Même si la volonté de simplification est saluée, la non prise en compte d’outils déjà opérationnels, leur multiplicité et le manque de coordination ont été regrettés.   On recommence ? N’attendez-pas le prochain séminaire pour partager vos bonnes idées : continuez à valoriser vos bonnes pratiques en nous informant.